vendredi 26 juillet 2013



TOURNEE  ELECTORALE DANSLA REGION DE SIKASSO
Les populations promettent la victoire à Modibo Sidibé

Fidèle à sa tradition, le candidat des Forces Alternatives pour le Développement et l’Emergence (FARE) Modibo Sidibé est allé à la rencontre des maliens des « profondeurs » notamment ceux de Sikasso.
Du 24 au 26 juillet date de la clôture de la campagne, il va se rendre dans les cercles et les grandes agglomérations du Kénédougou, pour s’imprégner des  conditions de vie des populations, partager leur quotidien afin de mieux comprendre ce que son peuple attendra de lui une fois élu. La première étape (M’Pessoba, Koutiala et Koury) a été réussite en terme de mobilisation et d’engagement des militants pour porter leur mentor à Koulouba le 28 juillet.


 Zone de culture par excellence, les populations du Miniankala ont en cette période     hivernale dérogé à l’une de leur règle les plus sacrée. C’est-à-dire boycotter le champ en l’espace d’une journée pour accueillir dans l’allégresse le candidat des Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence (FARE An ka wili) leur candidat. Et pour les quelques uns  qui s’y sont rendu, c’était en attendant l’arrivée de la délégation de Modibo Sidibé. « J’étais au champ quand j’ai aperçu les voitures de la délégation, j’ai tout abandonné pour venir écouter le candidat qui en mon sens mérite plus que quiconque d’être le président du Mali » témoigne Issa Coulibaly dégoulinant de sueur, dans l’enceinte de la maison du peuple de M’Pessoba.
De la maison du peuple en passant par la salle de spectacle de Koutiala à la place de la grande mosquée de Koury, c’était la fête. Les populations du Miniankala, jeunes, vieux, femmes et enfants étaient sortis en nombre pour témoigner  de leur soutien à Modibo et lui rassurer qu’ils sont avec lui.
« Si le vote ne devait avoir lieu qu’à Koutiala, Modibo serait  le président du Mali » disait le représentant des jeunes de Koutiala tout en verve dans une salle de spectacle acquis à la cause du candidat. Quelques heures auparavant c’était le chef de village et l’Imam de M’Pessoba qui rassuraient le candidat des FARE, bénédictions à l’appui qu’ils iront voter pour lui le 28juillet.
Ils n’ont pas manqué de rappeler au passage les actions qu’a fait  Modibo quand il était ministre de la santé (construction des CSCOM) et premier ministre (initiative riz).
S’agissant de ce dernier point (initiatve riz) dont les résultats sont jusque  là contesté par certains, le président des jeunes des FARE Amadou Cissé s’est fait le devoir d’éclairé la lanterne des populations du Miniankala sur la question et sur bien d’autres sujets.
Il fera savoir aux militants que l’initiative riz à été une réussite d’où sa reconduction et son élargissement à d’autres   céréales que sont le maïs, le mil etc. S’agissant des rumeurs faisant  états de la possession de plusieurs véhicules et de champs par le candidat, il a tout simplement mis au défi qui conque pourra prouver la véracité des faits. Un défi, qui  finissait de convaincre les fans de l’innocence de leur candidat. En témoigne les cris de joie qui suivaient à chaque fois.
Dans une zone ou l’agriculture est très développée, le candidat à fait savoir à ces militants ses ambitions pour l’agriculture.
Ce sont selon lui de mécaniser l’agriculture et de faire de la daba (chose qu’il avait reçu en guise de cadeau des mains d’un cousin à plaisanterie –forgeron-) un lointain  souvenir.
Son projet de société « Mali Horizon 2030 » ne vise pas qu’à faire du Mali un pays autosuffisant, mais plutôt  à faire du Mali le grenier de l’Afrique de l’Ouest. Il vise aussi à faire de l’aménagement du territoire une réalité afin de permettre aux agriculteurs d’écouler facilement leurs produits.  En matière d’éducation il compte créer des lycées techniques dans chaque cercle et une école professionnelle dans chaque commune. Ce qui permettra selon lui de booster l’emploi des jeunes et faire des deux (02) millions de jeunes de véritables opportunités et non des bombes à retardement comme tente de le faire croire certains a-t-il martelé . Aider les femmes à accéder aux crédits à travers la lise en place de la méso économie (économie intermédiaire ente la micro et la macro économie) avec leur  participation sont entres projet qu’il nourrit pour les femmes. La sécurité du territoire n’était pas en reste.
Les visites  dans le « dugutigui bulon »(vestibule du chef) de Koutiala, à la grande mosquée et aux églises protestantes et catholiques de ladite ville ont été des temps forts de cette première étape.
Mohamed DAGNOKO envoyé spécial à Sikasso

vendredi 19 juillet 2013



MODIBO SIDIBE RENCONTRE LES FEMMES DE SON PARTI
Son programme expliqué de fond en comble

C’est dans un palais de la culture bondé de femmes, que le candidat des Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence (FARE An ka wili) Modibo Sidibé  a présenté vendredi dernier son programme pour le Mali.

 La cérémonie de ce vendredi à regroupé quelques milliers de femmes venues écoutées leur candidat. Sous la houlette de l’association Fasso Den Niuma (AFDN) les femmes venues de toutes les communes du district et vêtues de pagne à l’effigie du candidat ont pris d’assaut la salle de spectacle du palais de la culture. Comme dans pareille circonstance, la musique et la fête n’ont  pas manqué. Même le mois de carême n’a pas fait déroger à cette règle des femmes.
Avant de soumettre sa candidature au peuple malien, le candidat des FARE avait sillonné ce qu’il appelle « le Mali des profondeurs ». De Kayes à Kidal l’homme s’es ressourcé au près de l’ensemble des notabilités de nos régions et cercles. C’est à partir de ce périple que le jeune et talentueux Alioune Ifra N’Diaye a réalisé un film d’une quinzaine de minutes. Un film fait de rencontres d’échanges, de prières et de bénédictions.
Ce film a été suivi d’une projection retraçant le parcours de Modibo Sidibé.
C’est sur les notes musicales de Dièneba Seck, que le candidat tout de blanc vêtu et flanqué de son staff a débarqués dans la salle sous les applaudissements nourris de ses fans.
Alternant le français et le bambara, le candidat s’est adressé à ses militants. Il compte selon lui faire du Mali s’il est élu un Etat fort et stratège ; une économie solide et compétitive et une nation solidaire et responsable.  Et pour y arriver il propose au peuple malien son projet de société dénommé « Mali horizon 2030 ». Un projet qui en lieu et place des bonnes mesures techniques ; des appels au patriotisme et à la sévérité de l’Etat ; la condamnation  amère  du passé et des modèles  institutionnelles  et économiques nés avec les indépendances, pourra assurer au Mali et au maliens le bien être et le développement  a-t-il dit.
De grands  changements qui demandent du temps et n’engagent pas qu’une seule génération, d’où « Mali horizon 2030 » a fait savoir le candidat. Et ceci il compte l’enraciner dans les valeurs communes des maliens.   Des valeurs qu’il veut partager avec  l’ensemble des maliens,« Des valeurs au premier rang desquelles la dignité, cette vertu que les Bamanans nomment Danbé, et qui ne supporte ni le mensonge, ni le vol, ni la trahison. Il s’agit pour moi d’un pacte d’avenir avec le peuple et les générations futures. »
Ce changement, il compte l’opérer avec l’ensemble de ses concitoyens sans différence de sexe, d’âges ni de religion.
Ce projet de société lui permettra selon ses dires, d’amorcer la transition dans plusieurs domaines et secteurs. Il s’agit selon de : celle institutionnelle et démocratique ; d’une économie diversifiée ;  des infrastructures et des services au services de la deuxième génération ; la transition sociale, sanitaire et éducative ; de celle culturelle et enfin la transition générationnelle afin que le Mali rayonne dans le monde. Voir loin (pus de cas par cas) ; l’Etat stratège( faire de la de la délégation de pouvoir une réalité), la citoyenneté(complicité entre initiatives indépendantes)  et le travail ensemble (plus de chacun pour soi) sont les idées directrices qui ont selon lui constitué la boussole des propositions de son projet. Enfin il a invité ses militants et tous ceux désireux de savoir ce qu’il est prêt à faire pour le Mali, de consulter son site de campagne www.modibo2013.com pour s’imprégner de es 76 engagements.
Comme à son arrivé, ses sous les notes de Diéneba Seck et les applaudissements  des femmes de Faso Den Niuma qu’il à quitté la salle.
Mohamed DAGNOKO


dimanche 14 juillet 2013



LANCEMENT DE LA CAMPAGNE DE MODIBO SIDIBE A KAYES  p 6
Mobilisation réussie même si…
Des scènes de joies  à celles de frustrations, le stade Abdoulaye Makoro Sissoko de Kayes en a connu dimanche 07 juillet dernier. C’était à l’occasion du lancement officiel de la campagne du candidat des FARE Modibo Sidibé. De l’émotion, du son, de la couleur il ya en eu. Votre canard vous plonge à travers les lignes qui suivent dans l’ambiance surchauffé de cet évènement. Reportage


Il est 13 heures. Les premiers militants font leur arrivée dans le stade Abdoulaye Makoro Sissoko de Kayes. Vêtus pour la plus part des t-shirts à l’effigie de leur candidat Modibo Sidibé, ils exécutent  des pas de danse sous le rythme endiablé des  batteurs de tam-tams. Devant  eux, postés juste à l’entrée principale du stade, les joueurs du Kamalen N’Goni rivalisent d’ardeur.
Le son du kamalen n’goni mêlé à celui des tam-tams surchauffent  le stade qui quelques heures auparavant avait été arrosé par une douce pluie.
Les bras en l’air, trépignant au centre du cercle formé autour des batteurs, Nassira se fait distingués par son savoir faire et sa hargne à la danse. Son bonheur saute à l’œil. Tellement heureuse qu’elle nous entraîne avec elle. On se surprend à partager un bonheur dont on ignore l’origine.
On imagine  une fervente militante des Forces pour l’Alternative  le Renouveau et l’Emergence (FARE), contente du choix porté sur sa région par son mentor pour lancer sa campagne laissant exploser sa joie. Oh, que non.
Nassira en fait, est une des nombreuses bénéficiaires collatérales de cette cérémonie. Vendeuse de sandwich, elle vient de voir sa recette  passée du simple au double.  Elle bénit la cérémonie. Et faisant partie selon elle des indécis (ceux qui ne savent pas pour qui voter), elle pense à partir de ce soir connaitre son camp. Suivez mon regard.
Rien ne déconcentre les spectateurs et les acteurs qui n’ont d’yeux que pour le talent des batteurs, surement des gens du Khasso, tant ils savent faire résonner le « doun-doun » à merveille.
Si, j’oubliais,  ils étaient par moment déconcentrés par l’odeur des plats fumants du « thièb djène » qui passaient par là.
Installées à quelques encablures des batteurs, une cinquantaine de femmes avec leur  tête Mame Keïta s’affairent autour des marmites pour  cuir et offrir  aux nombreux militants venus de toutes les communes et des cercles de Kayes,  la tonne de riz en leur disposition.
Pas assez suffisant pour nourrir les quelques 13 000 militants qui ont pris d’assaut le stade Abdoulaye Makoro qui compte 14 000 places. Mame Keïta explique alors que des quantités comme la tienne (1 tonne) sont entrain d’être préparées dans la famille de feu Baboye Thiam et chez Hamane Niang.
Les coups de klaxons et de ronflements annonçant l’arrivée des motos-djakartas par groupe de 10 et de 20. Leur boucan mêlé aux sons des tam-tams du N’Goni et des cris de joie des nombreux enfants présents  donnait l’impression d’une explosion.
Oui, c’était une explosion, mais une explosion de joie.
Pressés de rejoindre l’enceinte du terrain pour participer au lancement, nombreux sont ceux qui vont vite déchanter. Au moment de garer les motos, ils se rendent compte qu’il n’y a  pas l’ombre d’un parking. En ces temps de galère, ils sont nombreux ceux qui la mort dans l’âme ont rebroussés chemin.
« Si ces jeunes n’étaient pas rentrer faute de parking, nous aurions fait le plein du stade » martèle Issa Kanté qui dit être un responsable des jeunes des FARE  à Kayes.
Quittant les lieux avant l’heure, Moussa Sissoko calé sur sa photo le regard hagard cherchant  une solution en vain se résout à partir. Mais avant, il lance une grosse pierre dans la marre des organisateurs, « ce n’est pas vrai, qu’il n’ait pas pensé au parking. C’est amateur. »
Les cris provenant de l’intérieur du stade nous interpellent. Carte de presse brandit, nous pensions rentrer aisément.  C’était sans compter sur les gardes en faction, qui n’accordaient le privilège de franchir cette entrée principale qu’aux seuls détenteurs des cartes d’invitations. J’oubliais, et au « gros bonnet » kayesiennes. Pour ces dernières je ne m’en suis pas vraiment plein, car après tout ce sont des femmes. Et elles méritent toute notre attention d’homme.
Mais je crois honnêtement que l’alternance et le  renouveau prônés  par les FARE, doivent en tenir compte.
Une fois à l’intérieur,  nous nous apercevons que c’est le groupe Crazy Boys de Kayes, tout en flamme qui procure du bonheur aux militants. Un regard furtif dans la tribune, nous décelons des formes longilignes  blanches.  Non, ce n’est pas Baye de Kidal le frère Sidi Mohamed Iscrach, ce sont des observateurs de l’union européenne.
La cérémonie avec l’arrivée du candidat et son tour d’honneur s’emballe. Les discours se succèdent pour aboutir au plus attendu. Celui du candidat Modibo Sidibé.
 Son discours-programme a retenu toute l’attention de ceux là qui comprennent  la langue de Molière.
Mais, Kayes ne détenant pas la palme en matière de scolarisation, certains ont quitté le stade avant même la fin du discours, car ils ne pigeaient rien de ce que leur homme fort disait.
C’est sur les notes musicales de Diéneba Seck , que la cérémonie riche en couleur, en émotion et en son a pris fin.
Rentrant chez eux avec le sentiment d’une mission accomplie, un seul mot sur les lèvres des militants : célébrer la victoire le soir du 28 juillet.
Mohamed DAGNOKO




DESTIN D’UN HOMME
Oumar Ibrahim Touré sur les traces  de Macky Sall jusqu’où ?

Macky Sall et Oumar Ibrahim Touré sont tous deux à la tête de parti portant le même nom,  Alliance Pour la République (APR).  Ces deux hommes ont étrangement,   presque le même parcours politique. De la dévotion aux idéaux d’un parti, au sacrifice pour des hommes, Me Abdoulaye Wade pour l’un, Soumaïla Cissé pour l’autre, ils ont connu la même déception ;  quitté la formation de leur cœur par la petite porte.


Si Macky est aujourd’hui président de la république du Sénégal, Oumar Ibrahim Touré est dans le starting-block malien. Parviendra –t-il a réalisé la prouesse de Macky ? Décryptage
De formation académique différente,  géophysicien pour l’un (Macky) et enseignant d’histoire géo pour l’autre (Oumar Ibrahim Touré), ces deux hommes ont un parcours politique tellement similaire, qu’on ne peut s’empêcher  de leur prédire le même destin dans ce domaine.
De 1980 jusqu’en 2008, date à laquelle Macky Sall à été contrait à la démission, l’homme a été un des éléments clé du système de Me Abdoulaye Wade et du Parti Démocratique Sénégalais (PDS).
 Ses postes de vice président du comité directeur, de premier ministre de 2004 à 2007(record de longévité des premiers ministres de Wade), de directeur de campagne de Wade en 2007 et enfin de président de l’Assemblée nationale en sont des preuves concrètes. Ce rôle de maillon fort qu’a occupé le Al pullar au sein du dispositif Wade, l’a été de même de même (à des degrés et des responsabilités différents) pour son « sosie politique » aux côtés du président de son parti Soumaïla Cissé et au Compte de son ex formation politique l’Union pour République et la Démocratie (URD).  2ème vice président du parti, il l’a représenté au sein des différents gouvernements sous Amadou Toumani Touré d’Octobre 2002 au 5 Décembre 2010.
Durant ces 8 longues années au service de la nation au compte de son parti, il a successivement occupé les postes de ministre délégué au près du ministre de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche chargé de la sécurité alimentaire ; ministre de l’élevage et de la pêche (il fut le premier à occupé ce poste) pour enfin terminé ministre de la santé.
Ces deux hommes, battants, travailleurs et fonceurs devant l’éternel, n’ont cependant pas été (surtout par leur formation politique) récompensé pour leur mérite et leur dévouement. Ils ont été comme le dirait l’autre payé en monnaie de singe.
Guidé par le seul devoir de servir son peuple, Macky Sall en tant que président de l’Assemblée Nationale, n’a pas hésité à permettre l’audition de Karim Wade fils du président sur les travaux de l’Agence Nationale de l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI).
Ce qui n’a pas manqué de courroucé le « vieux », qui fit feu de tout bois pour qu’il démissionne. Face à son refus, Macky verra son poste de  numéro 2 du PDS supprimé et son mandat en tant que président de l’Assemblée Nationale réduit de 05 à 1 ans. Et pour ne rien arrangé, il est accusé de blanchiment d’argent.
Cette cabale n’est pas sans rappeler celle qu’a subit Oumar Ibrahim Touré en étant ministre de la santé.
Dans l’affaire dite du Fond Mondial, l’homme à été traité de tous les noms d’oiseaux. Au vu et au su de tous,  plus particulièrement de sa formation politique. Pire au lieu de s’ériger en défenseur de l’un des militants les plus efficace et populaire, le parti n’a trouvé mieux que de le suspendre en 2009 et de  l’exclure  en Avril 2013 pour travail fractionnel.
Une fois de plus  leur destin politique se croise. Macky Sall tout comme Oumar Ibrahim Touré sont blanchi comme neige par la justice.
Sortis de cette mauvaise passe, ils décident de lancer leur propre parti politique.
Unr fois encore ces formations ont la même dénomination, Alliance Pour la République (APR).
Considérer comme outsiders face aux mastodontes de la scène politique sénégalaise, que sont le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) ;  le parti Socialiste (PS)  de Tanor Dieng,et  l’AFP de Moustapha Niass , Macky Sall parvient en quatre ans à devenir le président de la république du Sénégal.
Certes, le parti d’Oumar Ibrahim Touré est tout jeune (moins d’un an) et n’a pas encore les quatre ans qu’il a fallu à celui de Macky pour le porté  à la présidence, mais l’on peut déjà au vu de ce qui précède prédire que le  parti et  son président  joueront les premiers rôles dans les années avenirs.
Et pourquoi en cette année même ? Car si l’APR de Macky à mis un peu de temps à s’affirmer c’est parce que le tout puissant PDS de Me Wade régnait. Alors que pour ces présidentielles maliennes  le jeu est grandement ouvert.
Alors destin pour destin, Oumar Ibrahim Touré sera le président du Mali.
Mohamed DAGNOKO