mardi 4 décembre 2012



CONSEQUENCES DE GUERRES
L'Afrique en pâti
Cette image au dessus, hélas, est parmi tant d'autres le lot quotidien de l' Afrique.
Pour la défense des leurs seuls intérêts,  certains dirigeants du continent, sont prêts à faire subir à "leur peuple" des atrocités inhumaines.
Les conséquences directes de leurs guerres de positionnements, de leur soif du pouvoir sont subits par les pauvres citoyens.
Pourquoi s’empennent-ils à ses paisibles citoyens? pourquoi  matraquent-ils ces paisibles populations qui dans la plupart des cas les ont portés au sommet de l'Etat par leur vote? Pourquoi les contraignent-ils au déplacement? à quitter leur chez eux, avec comme seul bagage des baluchons sur la tête. Ces images des mères presque dénudées, bébés au dos, les larmes au yeux parcourant des kilomètres et des kilomètres à pied à la recherche d'un abri hors de la portée des missiles et autres balles sont malheureusement fréquentes en Afrique. Faisant de ces populations, comme le dirait Mamane dans sa chronique sur RFI "des exilés et des déplaces".
 Cinquante ans après les indépendances pour la plupart des pays africains, nos dirigeants ne semblent toujours pas comprendre  que la contradiction en politique n'est pas synonyme de guerre? Que c'est de cette contradiction (objective bien sûr) que jailli la lumière. Celle qui a permis aux nations aujourd'hui citées comme model  de se forger.
A voir nos dirigeants de marbre face à la souffrance qu'ils affligent à "leur peuple", c'est à se demander s'il sont humains. S'ils  sont dotés du sens de la pitié, de la compassion, bref d'un coeur humain.
Rien que les visages larmoyants  de ces enfants (qui ont certainement perdus leurs parents de vue ou à jamais) fend le coeur.
Bien sûr, ce n'est pas en s’apitoyant sur notre sort, que le problème sera résolu. Chacun doit s'engager pour faire de l'Afrique un continent de paix. Cela en contribuant à porter à la tête de nos Etats, des républicains, des patriotes convaincus,ceux là qui ne bradent pas l'avenir de leur peuple au détriment d'autres peuples plus puissants. La volonté, c'est ce qu'il faut pour réaliser ce qui est aujourd'hui perçu comme un rêve( Afrique continent en paix).
Pour ces populations qui vivent le martyrs de ces guerres nous pouvons et nous devons le faire sans arrières pensées. Car comme le dit un adage de chez nous "Ne faites pas l'indifférents  quand la case du voisin brûle". Cet adage est d'autant plus vrai que, si vous restez les bras croisés la nature étant ce qu'elle est, le vent peut vous apporter quelques flammes qui ne manqueront pas de détruire votre case.
Si Martin Luther King dans son optimisme sans frontière disait "I HAVE A DREAM" et que Barack Obama, disait au moment ou beaucoup d’américains doutaient " YES WE CAN", moi je dirai "WE MUST TRUST IN OUR CAPACITY".
Car ce qui nous arrive est de loin une fatalité, ce sont des hommes qui nous l'impose, et ce sont des hommes qui peuvent le freiner.
A travers mon slogan, je ne suis point prétentieux, je ne me met non plus au rang des grands faiseur d'histoire qu'a été Martin Luther King et celui qu'est Barack Obama. Mais parcontre, s'il y a en eux une qualité dont je détiens sans fausse modestie, c'est bien L'OPTIMISME.
                                                                                                                       Mohamed Sangoulé
                                                                                                                        DAGNOGO

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